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Dans cette chanson qui figure sur "Bitter Tears" que Johnny Cash avait consacré aux amérindiens, "the Man in Black" règle son compte au fameux général Custer dont le 7ème régiment de cavalerie fut anéanti à la célèbre bataille de Little Bighorn, en 1876, par une coalition de 6000 Sioux, Cheyennes et Arapahos!
Depuis sa parution en 1970, ce bouquin a connu un très grand succès en librairie et retrace les principales batailles des tribus indiennes, au XIXème siècle.
On suit les épopées des Sioux, des Apaches, des Comanches et des Cheyennes mais aussi de tribus moins connues commes les Modocs de Californie ou les Utes du Colorado qui ont été totalement décimés.
Le livre s'achève par le massacre de Wounded Knee, où la tribu du chef Miniconjou Big Foot fut anéantie par les mitrailleuses Hothckiss de l'armée américaine, en 1890. Cet évènement marquait la fin des guerres indiennes.
De traités non respectés en traitrises, ce bouquin vient rappeler que la conquête de l'Ouest fut quand même un des plus grands hold-ups de l'histoire de l'humanité...
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Encore un groupe australien, beaucoup moins connu, mais qui enregistrait également ses albums aux fameux Alberts Studio, sous la houlette du tandem Vanda-Young, à l'instar de Rose Tatoo, The Angels et bien sûr AC/DC.
A sa sortie, en 1983, les critiques avaient plutôt bien accuilli cet album de Hard Rock simple, direct et sans chichi, notant au passage le timbre de voix du chanteur, Mark Gable, similaire à celui de Freddy Mercury.
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Cold Chisel avait de nombreux atouts: un chanteur hors pair en la personne de Jimmy Barnes, d'excellentes chansons inspirées et bien composées et un guitariste au style à la fois fin et incisif, Ian Moss!
Stars en Australie et en Nouvelle-Zélande, mais très peu connu ailleurs, Cold Chisel jouissait en outre d'une excellente réputation en Live...
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Attention! Document exclusif!
Vous le reconnaissez, le hippy barbu, là, qui joue de la flûte, du haut-bois et qui chante dans ce groupe de Prog-Rock à la Jethro Tull?
Si si! C'est bien lui!
C'est Bon Scott!!!
C'était bien sûr avant AC/DC...
A noter qu'un autre fameux chanteur australien, Jimmy Barnes, l'a remplacé au sein de Fraternity avant d'aller fonder les formidables Cold Chisel!
Ce bouquin retrace la vie du chanteur mythique d'AC/DC.
On suit d'abord son enfance en Ecosse. Déjà, il est attiré par la musique, fasciné notamment par les groupes de cornemuses.
Puis, comme beaucoup de britanniques à cette époque-là, sa famille émigre en Australie et s'établissent à Fremantle.
Ronald Belford Scott, que sa mère appelera toujours Ron, découvre le Rock'n Roll et forme son premier groupe, les Valentines.
Ils écument l'ouest de l'Australie de Perth à Adelaide, en passant par Melbourne.
A cette époque, dans les 60's, le seul groupe australien ayant percé sont The Easybeats, rendus célèbres grâce à leur tube "Friday on my Mind" que David Bowie reprendra sur l'album "Pin-Ups", et au sein duquel évoluaient Harry Vanda et Georges Young, le propre frère de Malcolm et Angus, qui produiront plus tard la crème des groupes australiens, The Angels, Rose Tatoo....
Après l'aventure des Valentines, Bon rejoint un autre groupe, Fraternity, et se fait ainsi connaître dans l'est de l'Australie.
Puis, en 1974, il fait la connaissance de deux gamins de Sydney, Malcolm et Angus Young qui l'embauchent au sein d'AC/DC.
La légende est en marche...
Le livre nous fait découvrir un homme galant, poli, intelligent mais aussi un fêtard invétéré, alcoolique et excessif, au charisme incontestable!
Une des plus belles phrases du livre: "Dans AC/DC, les membres étaient les lettres du logo; Bon, lui, en était l'éclair, au milieu!"