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Le groupe Punk américain The Offspring avait assuré la première partie d'AC/DC au Stade de France, en 2001.
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Pas fan de Cure, mais j'aime bien l'ambiance de ce morceau...
(J'ai piqué la photo à National Geographic)
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Extrait de "Nothing's Shocking", le premier album de Jane's Addiction.
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Allez, une petite dernière à propos de U2 et Steve Lillywhite!
Même sur les albums où il n'était pas le producteur attitré, Steve Lillywhite a régulièrement collaboré avec U2 sur certaines chansons, comme c'est le cas de "Breathe", sur le dernier album de "la bande à Bono"...
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Après avoir confié la production de leurs albums suivants à d'autres producteurs de renom (Jimmy Iovine, Brian Eno, Daniel Lanois...), U2 a refait appel à Steve Lillywhite, en 2004, pour peaufiner le son de "How to Dismantle an Atomic Bomb" sur lequel on trouve le très Rock "Vertigo".
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En 1983, "Sunday Bloody Sunday", ouvre "War", le troisième album de U2, toujours produit par Steve Lillywhite.
Cette chanson évoque un évènement tragique survenu en Irlande du Nord, le 30 janvier 1972: ce jour-là, l'armée britannique ouvre le feu sur des manifestants pacifistes, tuant 26 personnes, pour la plupart très jeunes.
Cette journée dramatique, appelée plus tard "Bloody Sunday" ("Dimanche sanglant"), eut pour effet de renforcer les rangs de l'I.R.A. et de durcir le conflit, entrainant son lot de représailles et d'attentats...
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Pour terminer ce petit tour d'horizon des productions de Steve Lillywhite, pourquoi pas une petite soirée "Spéciale U2"?
Steve Lillywhite a produit beaucoup d'albums et de chansons pour "la bande à Bono", et ce, dès leur premier LP, "Boy", sorti en 1980.
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Après le clash entre les frères Gallagher, Liam a fondé Beady Eye avec d'anciens musiciens d'Oasis.
Un album, "Different Gear, Still Speeding", est paru début 2011 avec, à la production, Steve Lillywhite.
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"Tout ce que je veux faire, c'est Rocker" chantait en 1997 le groupe Travis sur son premier album, produit par Steve Lillywhite...
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Malgré des invités prestigieux (Tom Waits, Bobby Womack, Jimmy Cliff, Jimmy Page...) et une production confiée à Steve Lillywhite, très en vogue à l'époque, le bien nommé "Dirty Works" ("Sale boulot"), sorti en 1986, semblait bien être l'album de la séparation définitive des "Glimmer Twins".
Mick et Keith ne pouvaient plus se voir en peinture (il suffit de regarder la video pour s'apercevoir que Keith balancerait bien sa gratte dans la gueule de Mick!) et le manque de motivation, d'enthousiasme et d'inspiration, sans compter une pochette absolument hideuse, a rebuté tant les critiques que les fans...
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